nealbluebird@hotmail.com: 2008

mercredi 11 juin 2008

Des regards

Des regards sur des images que je voudrais émotionnel, vos regard sur ma façon de voir les choses.
Et bientôt de nouvelles photos et aussi un nouveau blog sur mes voyages.
Laissez moi des petits mots pour me dire ce que vous aimez et ce que vous auriez préféré autrement.

Merci

Les grandes maison avec de l'eau qui coule quand t'en a envie, des portes qui séparent bien comme il faut les différentes ambiances, des portes partout, des écrans aussi, partout des écrans qui nous montrent ce que nous avons la possibilité d'avoir et donc de posséder, le nouveau robot, une carrière, des lumière a télécommande, une assurance vie, des femmes en plastique et tout ces truc qui finalement ne servent pas à grand chose. Peut-être a nous persuader que l'on doit continuer pour que tous cela puisse, encore un peut, nous donner l'illusion que nous sommes en vie, je sais pas... En france, à l'usine parmi les prolos, dans la france d'en bas, j'ai été l'un d'entre eux, enchaîné a des salaires d'esclave et à un travail lobotomisant. j'ai aussi ressentie au fond de moi cette fierté à faire partie de cette grande famille qui faisait chaque jours tournée les machine dans l'espoir de jours meilleur. j'ai construit ma maison parmi les Hobbit sur une colline en Irlande et nous avons rie chanté et dansé, jouer dans les Pud jusqu'au levé du jour. Nous avons parfois pleuré aussi dans ces même Pub la perte d'un ami. j'ai respiré les communautés ou la folie l'emporte parfois sur les Utopies, ou les plus forts émergent du troupeaux en exploitant les plus faible, j'ai fumé avec ceux des camions pauvre ayant pour proches des chiens fidèle. J'ai aussi fumé avec les chefs de "communautés sans chef", ceux la avaient la télévision, une cuisine, un poêle, pas de fuite dans le toit et une porte qui fermait... Le système des castes se recopiait maintenant, ces castes qu'il avaient voulu quitter. J'ai rencontrer Laurence, un évolutionniste génial, anglais fou vivant dans les canions de Tabernas, le plastic et les couvertures recouvraient une structure en bois, sa maison, cela fessait une jolie lumière, une jolie maison, Laurence et sa fée sont devenues mes amies sans que nous aillions échanger un mots. j'ai vue les punk de Granadas, l'un deux était mon amie, Martin, un polonais, son domaine à lui c'était la sculpture du bois, en cinq minutes il pouvait transformer un bout de bois en une jolie cuillère, ayant, sculpté sur le manche un visage de magicien. Lui en était un de magicien, je l'avais rencontré dans un Rainbow, genre de rassemblement, loin de tout, peuple nomades allant au sicle des lunes pour tout les mois amener cette énergie d'amour dans les lieu ou ils allaient, à la terre qu'il laissaient plus propre à leur départ qu'à leur arrivée. J'ai marcher sur Montpellier en hippy, gagnant ma vie dans la rue jouant de la flûte et vendant des cd, nous dormions ou nous trouvions, un canapé était ce soir la ce que nous avions puent dégotter dans la chambre cuisine d'un vieux hippy des villes, malade et plein d'histoires plus folles les une que les autres, histoire de sa vie, couper à la hache. J'ai rencontrer max, un magicien lui aussi. Max faisait des flûtes, des flûtes sans trou pour les doigts, lui aussi est devenue mon amie avant même un premier mot, on se respectait comme deux frères, depuis toujours. J'étais la assis, je décorait un étui à flûte avec de la laine de couleur, les enfants grouper autour s'amusaient a faire des bracelets tressé. Tout était beau, la, sous la tante de la cuisine du camp, en pleine montagne max est devenue mon amie. il pleuvait et tout était beau, l'odeur du feux, les arbres, le silence, les hommes qui passaient, le ciel, les chevaux qui vous réveillaient au matin en fessant raisonner la petite vallée, les arc en ciel que nous ne manquions jamais, les hommes étaient en paix, tout était beau. J'ai vue bien des gens, bien des sourires et bien des larmes, je volais tel un oiseau se laissant doucement aller au grée du vent et les rencontres étaient toujours bonne, rien n'est impossible pour les coeur léger, même la chute. J'ai ressenti dans mes voyages cette vrai fraternité ou les hommes ne se jugent que sur la grandeur le leur amour. Nous cherchions... Quelqu'un ou quelque choses, nous avions cette fois en l' amour, cette chose qui ne peut s'expliquer qu'en l'absence de paroles et que tout le monde recherche, un sein maternelle tendre doux ou nous pourrions pour quelques temps reposer nos peines. Le temps est venue pour l'amour et la paix entre les êtres de cette planète ....... nous en avons besoin.

nealbluebird@hotmail.com

mercredi 11 juin 2008

Des regards

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